C’est dans la consternation et une immense tristesse que nous devons accueillir la mort accidentelle de Christian, survenue le 27 février 2010. Aucun superlatif ne pourra amoindrir notre chagrin, tant son absence résonne déjà comme un vide… Nos pensées vont à tous ceux qui, de près ou de loin, ont pu le côtoyer et connaître ce personnage hors du commun, charismatique et dévoué.


« Hier matin, vers 11h, Christian Amann, 49 ans, cycliste de l’UCV (Union Cycliste de Vendenheim), a été tué dans un accident de la route à Mollkirch près de Rosheim.

En cette journée ensoleillée, le groupe d’une dizaine de cyclistes descendait vers le rond-point de Heiligenberg. Dans le centre du village, Christian Amann aurait fait une chute. Au même moment, un camping-car passait dans l’autre sens, en direction de Grendelbruch, happant le cycliste sous sa roue arrière. L’homme est mort sur le coup. Le conducteur du camping-car, vivant à Niederhaslach, n’a rien pu faire pour l’éviter.
Les pompiers de Mollkirch et Urmatt, placés sous le commandement du lieutenant Olivier Spielmann, n’ont pu que constater le décès. L’hélicoptère Dragon 67 s’est rendu sur les lieux, mais est reparti vide. Une enquête est en cours à la gendarmerie de Rosheim. »
Dernières Nouvelles d’Alsace

« Le départ brutal de Christian Amann

A 49 ans, Christian Amann, à la passion intacte, envisageait d’aborder sa 37èmesaison de compétition. Samedi matin, du côté de Mollkirch, un accident mortel en décida différemment.
Issu d’une famille de talentueux cycle-balleurs, Christian débuta d’ailleurs par ce sport, au sein du club local, l’Union Cycliste de Vendenheim. En trois saisons, il engrangea trois titres de champion d’Alsace : ceux de 1974 et 1975 en minimes, puis en 1976 chez les cadets.

Routier et pistard

Mais au club voisin de la PR Reichstett, Armand Muster venait de monter une bonne équipe de jeunes. Christian se laissa tenter par la route, mais aussi la piste. D’entrée adroit et véloce (grâce à sa pratique du cycle-balle), il s’imposa de suite, en 1977, à 5 reprises chez les cadets et glana, de 1977 à 1979, 4 autres titres régionaux, en vitesse, à la course aux points (2 fois) et sur route UNSS (1978 à Ittlenheim).
Pourtant, dès 1979, Christian Amann revint à l’UC Vendenheim. Jusque là exclusivement axé sur le cyclisme en salle, le club créa une section route, au sein de laquelle Christian s’investit aux côtés de son père Roger, tout en continuant à pédaler, obtenant de maintes et belles victoires, ainsi que quelques autres titres de champion sur la piste.

Un homme engagé

Acteur principal de l’organisation de  » La Rhénane « , il a aussi été à l’origine de l’école de cyclisme qui fut championne d’Alsace et participa au championnat de France 1995 disputé en l’Ile de la Réunion.
Ces dernières années, il officia à quatre reprises en tant que directeur sportif de l’équipe d’Alsace, en lice au Tour du Burkina-Faso. Car l’homme s’impliquait également au profit du cyclisme régional dont il fut membre durant quelques années. En son temps, il avait pris en main les destinées de l’AGV (Association de Gestion du Vélodrome). Christian était surtout ravi que son fils Jérôme fasse mieux que de marcher sur ses traces, en qualité de coureur routier-pistard, tout en prenant avec brio et compétence la responsabilité de la section route.

C’est dans la consternation et une immense tristesse que le cyclisme a appris la mort accidentelle de Christian Amann. Les pensées vont à tous ceux qui ont pu le côtoyer et le connaître.
Nous présentons nos plus sincères condoléances à sa famille, et ses amis, plus particulièrement à Michèle son épouse, à Jérôme et Elodie, ses enfants, et à ses parents Roger et Annie. Une pensée émue aussi aux compagnons présents lors de cette sortie et traumatisés par cet accident, en particulier les plus jeunes. »

Dernières Nouvelles d’Alsace

« Le cyclisme ne doit ses lettres de noblesse qu’aux bénévoles qui le font tourner rond. Christian Amann, responsable de la section route à l’UC Vendenheim, faisait partie de ces hommes précieux, il s’en est malheureusement allé hier matin. Alors qu’il effectuait la traditionnelle sortie d’entraînement de son club, le Bas-Rhinois a effectué un écart sans explication à hauteur de Mollkirch, qui l’a amené vers la voie opposée où il a percuté un camping-car.

Christian Amann, âgé de 49 ans depuis le 18 janvier, avait démontré de réelles aptitudes au cyclisme dans les rangs cadets et juniors pour jouer régulièrement la victoire, avant de se consacrer à ses études. Ce passionné donnait de sa personne non seulement à son club, mais également à l’Alsace et au Burkina-Faso, où il dirigeait une formation sur le tour national en même temps qu’il contribuait à une collecte de vélos pour les Burkinabés. Son fils Jérôme, également licencié à l’UC Vendenheim, l’accompagnait dans ces tours de roue. En déplacement professionnel en Chine, ce dernier devrait arriver ce lundi soir pour se rapprocher de sa famille.

L’Alsace s’associe à leur peine. »

L’Alsace

« Il était un amoureux fou du vélo, c’est sur le vélo qu’il a trouvé la mort. Christian Amann a eu un amour fusionnel avec le cyclisme. Il est mort à 49 ans. Mais il a mis 36 ans au service du vélo. En fait, le vélo est une tradition familiale chez les Amann. Et dès son jeune âge, il a toujours été champion chez les cadets en Alsace.

Il a collectionné d’autres victoires au fil des ans. Mais rapidement, l’appel de formateur prend le dessus. Dès 1979, Christian, aux côtés de son père, Roger, porte la double casquette d’encadreur et de coureur au club UC Vendenheim d’Alsace.
Ce grand passionné a tout de suite choppé le virus pour le Faso. C’était en 1999, lors de sa première participation au Tour du Faso. Depuis, il participé 3 fois (2005, 2007, 2009) au Tour du Faso en sa qualité d’encadreur de l’équipe d’Alsace. Il a toute de suite voulu apporter son aide au développement du vélo au Burkina.
Ainsi, il a été un des acteurs du concept  » Vélo pour le Faso « . Cette opération a permis à des volontaires, on s’en souvient, de récolter, à travers la France, 1 000 vélos et des pièces de rechange pour le Burkina. Christian Amann que le monde du vélo pleure, a été fauché mortellement par une voiture alors qu’il faisait du vélo.
Ses funérailles ont eu lieu le mercredi 3 mars. Affligé par cette triste nouvelle, la Fédération burkinabè de cyclisme, par la voix de son président, Alassane D. Ouangraoua, a offert un bouquet de fleurs à la famille de l’illustre disparu, signe de sa solidarité dans la douleur. Et si Amann a servi le vélo toute sa vie, la famille a voulu que sa mort serve aussi le cyclisme.
C’est ainsi qu’un appel a été lancé pour que tous ceux qui voulaient honorer la mémoire du défunt, à travers un bouquet de fleurs, puissent faire des dons en espèces qui seront reversés entre autres à l’Association  » Vélo pour le Faso « . Sacré Amann ! Va et que la terre te soit légère.Les Editions Sidwaya présentent leurs condoléances à la famille du disparu. »
Les Editions Sidwaya

« C’est avec consternation et une grande tristesse que la nouvelle de l’accident fatal de Christian nous est parvenue.

Tous les membres de la Pédale de l’Est s’associe à son président Jacky Ruez pour apporter à la famille de Christian, son épouse, ses enfants, ses parents et beaux parents toute leur sympathie et leur soutien en ces instants de la vie que l’on aimerais ne jamais côtoyer.

Nous adressons nos plus sincères condoléances à cette famille durement éprouvée, ainsi qu’à son club dont il fut une des chevilles ouvrières. »

Pédale de l’Est d’Haguenau

« Lors de la sortie traditionnelle du samedi matin de l’UC Vendenheim, Christian Amann a trouvé la mort en percutant un camping-car. Passionné de cyclisme et père de Jérôme, il laissera un grand vide autours de lui.

L’ensemble des membres de l’ACE se joignent à moi pour présenter à la famille de Christian ainsi qu’aux membres de l’UCV nos sincères condoléances. »

Association Cycliste d’Erstein

« Le peloton alsacien vient de perdre à nouveau un de ses coureurs.

Christian Amann, 48 ans, une des chevilles ouvrières de l’Union Cycliste de Vendenheim, vient de décéder à Mollkirch lors d’une sortie d’entrainement.

Le comité, les coureurs et tous les membres de l’UCVN adressent leurs sincères condoléances à la famille de Christian. »

Union Cycliste des Vosges du Nord

« La famille du cyclisme est en deuil.

Hier matin, ce coureur dirigeant de l’UC Vendenheim a trouvé la mort en chutant et en se faisant renverser par un camping-car selon les DNA de ce matin. Il était entouré pour sa dernière sortie de ses camarades habituels qui, impuissants, n’ont rien pu faire. Terrible nouvelle donc pour le clan Vendenheim et pour la famille Amann a qui nous adressons nos sincères condoléances. »

Vélo Club Eckwersheim

« Le comité directeur, les membres et l’ensemble des coureurs du VCUS ont appris la terrible nouvelle qui s’est abattu sur la famille Amann et l’UC VENDENHEIM avec le décès tragique de Christian Amann, et vous transmettent leurs plus sincères condoléances. »

Vélo Club Unité Schwenheim

« Christian Amann, coureur et dirigeant de l’Union Cycliste de Vendenheim, a été victime d’un accident mortel lors d’une sortie d’entraînement samedi. Christian Amman, 48 ans, était ces dernières années, entre autre, directeur sportif d’une sélection d’Alsace lors du Tour du Faso. Sur la dernière édition, un des ses coureurs, Jean-Noël Wolf, ancien coureur professionnel, avait remporté une étape. »

DirectVélo

« Christian Amann (UC Vendenheim) s’est tué hier accidentellement à l’occasion de la traditionnelle sortie collective du club du samedi matin en compagnie d’une dizaine de coureurs du club.

Nos pensées très très émues vont bien sûr en premier lieu à sa famille, à son fils Jérôme en déplacement professionnel à Shanghai, son épouse, sa fille Elodie et à ses parents, tous très connus dans le milieu cycliste régional.
Egalement aux jeunes du club, présents lors de cet accident et tous très choqués.Le Comité Régional s’associe à cette peine immense qui s’abat sur nous aujourd’hui. »
Comité d’Alsace

« Une église trop petite pour contenir des centaines de personnes avec un bon nombre s’obligeant sans contrainte à rester sur le parvis dans le froid et le vent.

Des épaules trop petites sur trois malheureuses personnes recroquevillées au premier rang, désignées arbitrairement parmi nous quelques jours plus tôt.
Une acceptation trop petite dans ce que le pasteur a voulu nous rappeler avec justesse en distinguant notre extrême vulnérabilité.
Un parchemin trop petit pour que quelques dizaines de lignes puissent décrire le volume d’une vie pleine.
Un lieu trop petit pour contenir ce trop plein d’émotions qui a fini par déborder jusque dans les allées extérieures, voir s’en aller la petite estafette mauve.
Un foyer d’accueil trop petit pour contenir l’équivalent d’un peloton cycliste mais si parfait pour rester compact, serré, regroupé.
Une envie si petite de s’en aller à nos activités et alors préférer rester ensemble pour parler, communiquer, échanger.A l’image de Christian, un bel et beau, simple et sincère, discret et ferme hommage de cyclistes qui a valeur d’une reconnaissance sans réserve à l’un d’entre nous.Mais une consolation trop petite, toujours trop petite, nous le savons tous, malgré le réconfort compris et apprécié par la famille en deuil de la part du monde cycliste réuni affectueusement hier du coté de Vendenheim… »

Comité d’Alsace

« Alors comme cela tu t’en es allé.

Je n’arrive pas encore à y croire et pourtant chaque fois que je repense à toi, à ces moments que nous avons passé ensemble, j’ai la gorge qui se serre et les larmes qui me viennent.
Et dire que comme moi samedi dernier tu étais si content en te réveillant et en voyant ce beau soleil qui se levait dans un ciel sans nuage.
 » La belle virée qu’on va pouvoir se faire aujourd’hui !  » as-tu dû te dire tout comme moi.Et oui comme tous les cyclistes, on commençait à en avoir plus qu’assez des week-end gris, pluvieux et froids qui se succédaient depuis plusieurs mois.
Et même si tous les deux on ne préparaient plus le GP des Carreleurs, on n’avait qu’une hâte, celle de reprendre l’entrainement pour se dérouiller les jambes, revoir les copains et tenter de faire disparaitre les kilos en trop accumulés cet hiver.
Une belle sortie en perspective qui hélas pour toi c’est achevée de la plus tragique des façons.Tout au long de ta vie, le vélo t’avais beaucoup apporté en plaisirs et satisfactions.
En contre partie tu lui en as redonné bien plus encore en t’investissant sans compter dans ton club et en devenant, au fil des saisons, un exemple pour ces jeunes que tu encadrais.
Et ce samedi c’est sur le vélo que tu nous es parti. Cruel.

Le souvenir que je garderai de toi, c’est ces deux tour du Faso que j’ai eu le plaisir de faire à tes côtés.
Officiellement tu étais notre directeur sportif.
Mais sur le terrain, c’était un vrai papa poule qui s’occupait de nous.
Tu nous prodiguais tes conseils, nous soutenais quand on avait un coup de moins bien, calmais les esprits qui sous le soleil commençaient à s’échauffer…
Et tout ça avec le calme et la sérénité qui te caractérisaient.

En y réfléchissant, je suis persuadé que c’est en grande partie grâce à toi qu’aucun de nous n’a jamais abandonné durant les 3 tours du Faso que tu as encadré.
Et c’est cet exploit (à mon avis assez unique dans les annales de cette course très exigeante) qui, plus que nos victoires, démontre de la plus belle des manières l’Homme tu étais !

Un bonjour à Roland. »

Michel Kaufmann

Culte d’Adieu du mercredi 03 mars 2010 en l’Eglise de la Confession d’Augsbourg d’Alsace et de Lorraine, Paroisse protestante de Vendenheim.

Hommage à Christian

Le moment est rude
Et ce n’est pas dans nos habitudes
De donner le ton
Ici sur ce perron
Mais il est des moments
Ou terriblement
Il est vain
De combattre le destin
Et seul peut-être le travers
Du poids des mots
Saura libérer notre chagrin
Pour des lendemains
Enfin à nouveau plus beaux
Telles ces quelques pensées
De ces copains qui pour l’accompagner
Vont devoir faire aujourd’hui ensemble
La plus difficile des étapes qui composent la route de leurs amitiés
Car sa passion a fait que nos chemins, un jour se sont rencontrés,
Pour les parcourir, nous sortions fièrement nos plus beaux destriers
Il est parti, une fois encore en échappée,
Mais le destin a voulu, que cette fois, nous ne pourrions plus jamais le rattraper
Et si un jour, il avait su, que c’est à pieds que nous allions une dernière fois le saluer
Cela l’aurai fait bien marrer, notre valeureux guerrier.
Et pour ce bonhomme, entier et dévoué
Qui n’aimait pas les honneurs
Car lui donnait des sueurs
Nous voudrions qu’à l’unisson
Cet adieu
Vers l’au-delà des cieux
Reste en nos mémoires
Avec le secret espoir
De revoir
Un jour notre fichu
Moustachu…Schnutzer was esch
Dann gemacht
Meir an doch noch nie auf dich bruche warte
Und jetzt gesch
Du allein do nauf
Wie nichts zu mache esch
Und mehr der grad des Sprechel abzulase und mit gann kenne !Tu étais aussi la malice
Ton plus beau vice
Et tes baladeuses
Les rendaient bien heureuses
Mais tu savais aussi grinché
Et là c’était comme un mignon péché
Qui nous faisait penser
A réviser nos dictées.
Mais comme tout passionné
C’était pour nous secouer
Et nous affairer.
Et si tu excellais
Quant il s’agissait d’organiser
Le compter était aussi ta tasse de thé.
Quand il s’agissait de réparer
Rien ne te rebutait.
Et dans les sorties
Devinez qui pointait au devant le bout de son nez ?
Tout simplement, Christian
Pour qui je vais me contenter
A défaut de rappeler
En quelques lignes
D’infimes et trop courtes lignes
Tel son charisme et son engagement
Etait comme enchantement
Le parcours de ce combattant

 

Car si le cyclisme ne doit ses lettres de noblesse qu’aux bénévoles qui le font tourner rond, Christian en faisait partie de ces hommes précieux qui avait gardé à 49 ans sa passion cycliste et envisageait d’aborder cette année sa 37èmesaison de compétitions.

Issu d’une famille de talentueux cycle-balleurs, Christian débuta d’ailleurs par ce sport, au sein du club local où il engrangea 3 titres de champion d’Alsace. Mais le club voisin de Reichstett, venait de monter une bonne équipe de jeunes. Christian se laissa tenter par la route, mais aussi la piste. D’entrée adroit et véloce il s’imposa de suite. Pourtant, dès 1979, il revint à Vendenheim. Jusque là exclusivement axé sur le cyclisme en salle, le club créa une section route, au sein de laquelle Christian s’investit au côté de son père Roger, tout en continuant à pédaler et où il obtint de maintes et belles victoires voire quelques titres de champion sur la piste.
Acteur principal pour l’organisation de la Rhénane, il a aussi été à l’origine de l’école de cyclisme qui aura été Championne d’Alsace et lui avait permit de participer au Championnat de France à Ile de la Réunion.
Ces dernières années, il officia à 4 reprises en tant que directeur sportif de l’équipe d’Alsace, en lice au Tour du Burkina-Faso en même temps qu’il contribuait à une collecte de vélos pour les Burkinabés. Car Christian s’impliquait également au profit du cyclisme régional dont il était également membre pendant de nombreuses années et avait même pris en main les destinées de l’AGV en son temps.
Il était aussi ravi que son fils Jérôme faisait mieux que de marcher sur ses traces, en qualité de coureur routier-pistard et était rentré en responsabilité avec brio dans la direction de la section route.

Mais à présent son sourire et son enthousiasme, sur le bord de la route ou dans l’organisation de courses, manqueront beaucoup, énormément à ce petit monde du cyclisme alsacien.

Et je voudrais au nom de l’Union Cycliste de Vendenheim présenter en toute humilité mes plus sincères condoléances à sa famille, ses amis et proches et tout ceux qui l’ont côtoyés de près ou de loin et plus particulièrement Michèle son épouse, son fils Jérôme et sa fiancée Anne-Claire, sa fille Elodie et son copain Floriano ainsi que ses parents Roger et Annie, en leur apportant par ses quelques mots un peu de réconfort dans cette rude épreuve avec toute la preuve de notre affection mais d’avoir également une pensée émue pour les infortunés compagnons impuissants présents lors de cette sortie.

Oui, la sortie où Christian est parti !

Parti ce samedi,
Comme à l’accoutumée
Pour une virée
Qui se devait ensoleillée
De ses potes entouré
Il est parti,
Parti du côté
De l’Eternité.
Il l’a quitté
Cette route à tout jamais
Celle qu’il aimait
Et affectionnait
Celle où il « s’assouvissait »
Et le ressourçait
Celle qui lui plaisait
Elle lui a pris
Toute sa vie.
Il est donc parti ce samedi
Pour certain le « Kiki »
Enfin celui pour qui
Serviabilité et Amitié
Jovialité et Honnêteté
Humanité et Fidélité
N’était pas étranger
Et qui de sa passion nous a quitté
Pour l’Eternité,
Et retrouver
Tout là haut
De trop nombreux passionnés
Accrocs de vélos
Qui l’attendent
Et lui demandent
Qu’un jour
Il nous fasse le Tour
De cette Terre
Qu’il a quitté
Effondré
En ce beau jour de la semaine dernière.
Et si tu es parti
De cette vie
Comme tu l’as vécu
Nous sommes abattus
De te voir ainsi vaincu
Et t’adressons ce dernier message
A toi dorénavant le sage
Maintenant que tout est fini
Que notre prochain rendez-vous
C’est pas chez nous
Mais au paradis,
Alors bon vent
Et au revoir mon cher Christian
Il est parti notre Ami !

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